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Des Miss mais pas seulement

Certaines candidates ont un parcours délicat.

Temps de lecture: 2 min

Au fil des interviews qu'elles donnent à la presse dans le cadre de leur voyage en Egypte, les candidates au titre de Miss Belgique 2018 se confient sur leur vie parfois étonnante.

Les histoires d'Angeline Flor Pua, Kimberley Hallaert ou Vanille Seurs sont touchantes. Etudiante pour devenir pilote de ligne, Angeline multiple les petits boulots pour payer ses études couteuses. Elle avait notamment un job à l'aéroport de Zaventem. Travail qu'elle a quitté suite aux attentats du 22 mars 2016. Jour où elle travaillait dans les couloirs du bâtiment. « Je me souviens avoir vu de nombreuses personnes courir dans ma direction », se souvient-elle. « Les explosions venaient d'avoir lieu et les gens fuyaient. Mais j'étais aux portes où il faut scanner sa carte d'embarquement pour qu'elles s'ouvrent. Je garderai toujours en mémoire cette image d'une maman qui a lancé son bébé par-dessus ces portes afin qu'il soit en sécurité. »

Quant à Kimberley, elle a choisi d'entamer prochainement des études de droit. Un métier qui s'est imposé à elle. « Ma vie a fait que je veux faire cette profession car mon oncle a été assassiné en 1989 à Waterloo ». Et ce n'est pas tout. « J'étais dans la classe de Mina, l'une des filles de Geneviève Lhermitte. J'ai été bouleversée par sa mort ». Des faits divers qui marquent une vie.

Moins dramatique, le parcours de la douce Vanille. « Il y a quelques années, j'étais très ronde, j'ai perdu plus de 20 kilos. Participer à Miss Belgique, je n'y croyais pas. » Et pourtant, elle fait partie aujourd'hui des favorites...

Ci-dessous retrouvez une vidéo des Miss en plein shooting au bord de la piscine  :

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