Eric Naulleau fracasse Aymeric Caron ... et pas que lui (vidéo)
Sur le plateau de Thierry Ardisson, le chroniqueur n’a pas oublié ce violent contentieux. Et n’a pas non plus épargné Christine Angot.
« Je ne m’excuse pas. Et je l’emmerde ». La première attaque était violente. La deuxième secousse n’a rien à lui envier et ne fait que confirmer la pensée d’Eric Naulleau. Aymeric Caron est dans son viseur. Et il ne lâche pas sa prise. Invité dans l’émission « Salut les Terriens », le journaliste français est revenu sur certaines prises de position polémiques et semble ne rien regrette. Aymeric Caron, Maître Gims ou Christine Angot, il n’a rien éludé dans la séquence intitulée « L’interview excuses ».
« Il laisse un souvenir détestable »
Et des excuses, il n’y en a pas eu. Les saillies d’Eric Naulleau sur Aymeric Caron font suite à une interview accordée à Télé-Loisirs dans laquelle il établissait que l’ancien chroniqueur d’ONPC était « inculte et fier de l’être », comme le rappelle le Huffington Post. Rebelote dans l’émission de C8 présentée par Thierry Ardisson.
Il a offert le portrait d’un homme « qui laisse un souvenir détestable » partout où il passe : « Quelqu’un m’a arrêté l’autre jour dans la rue. Et m’a dit que dans une radio où [Aymeric Caron] est passé, le jour où il est parti est maintenant un jour férié pour toutes les personnes qui travaillent dans la radio ».
La séquence en question à partir de 13min30 :
Le PAF dézingué
Eric Naulleau n’a pas tremblé au moment de tacler. Pour lui, Maître Gims a écrit « le pire texte qu’[il] n’[a] jamais entendu ». Ou Frédéric Beigbeder à qui il a fait, malgré lui, « un peu de pub pour un livre qui n’a pas marché ». Personne n’est épargné.
Et surtout pas Christine Angot. La protégée de Laurent Ruquier s’est fait attaquer sur son métier d’écrivain et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle en a sévèrement pris pour son grade. « C’est la pire imposture littéraire des cinquante dernières années », tance Eric Naulleau. « Je demande pardon à Christine Angot d’avoir dit tant de mal de ses livres parce que je suis à peu près sûr que le prochain sera pire ». La langue dans sa poche, Naulleau ? Jamais.
