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Une ascension fulgurante à la télévision pour Camille Combal

L’ancien chroniqueur de Cyril Hanouna est aujourd’hui, plus que jamais, mis en lumière grâce à son implication dans l’émission « Danse avec les stars ».

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À 37 ans, l’animateur Camille Combal enchaîne désormais les projets. Depuis septembre, il a été choisi par Jean-Pierre Foucault pour animer le jeu télévisé Qui veut gagner des millions sur TF1. La Une lui a également confié l’adaptation française de l’émission américaine Carpool Karaoké, qui consiste à faire chanter des célébrités en voiture.

Il prévoit aussi de se lancer dans des projets « plus perso », a-t-il confié à l’AFP : « on réfléchit à quelque chose qui puisse nous ressembler et plaire aux téléspectateurs du groupe ». Pour le moment, il travaille en parallèle sur la matinale de Virgin Radio ainsi que pour la 9ème saison de Danse avec les stars, dont la grande finale sera diffusée ce samedi sur TF1. « Je ne pensais pas m'amuser autant. Je ne connaissais pas très bien l'émission, je suis bluffé par l'énormité de la production. Vu de l'intérieur, c'est assez incroyable, tout est en direct », explique-t-il.

L’envie d’y arriver

Depuis que l’animateur a quitté l’équipe de Cyril Hanouna, il observe une guerre entre son ancien collègue et la chaîne de télévision. Querelle à laquelle Camille Combal ne souhaite pas prendre part. « J'ai quitté un groupe de potes, je suis parti en copain et rien n'a changé depuis. Je suis parti de façon claire, propre et prévue. Je pense que j'avais fait le tour, c'était une question de nouveau défi. Je suis allé là où j'avais le plus envie d'aller ». Une activité qui lui occupe le plus clair de son temps. « On ne peut malheureusement pas avoir trop de vie sociale, c'est sûr qu'on passe à côté. Après, on a la chance de ne pas faire de métier physique, mes parents étaient restaurateurs, ils faisaient plus d'heures que moi et étaient beaucoup plus à plaindre », témoigne-t-il.

« Camille c'est une personne normale qui fait un métier pas normal, dans un milieu pas normal. Il n'oublie pas d'où il vient. C'est un gros bosseur, il n'y a pas un élément qui passe à l'antenne qu'il ne maîtrise pas », raconte l’un de ses collaborateurs, Yoann Crenn. « J'ai la chance de faire le métier que je voulais faire quand j'étais petit, je suis un privilégié, donc il faut travailler, on le doit aux gens qui nous écoutent. Si demain je vois que ça devient dur physiquement, j'arrêterai », affirme l’animateur qui prend de plus en plus de place à la télévision française.

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