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Libération conditionnelle: Geneviève Lhermitte fait toujours peur

La mère infanticide a demandé sa libération conditionnelle. Bouchaïb Moqadem, le père des enfants assassinés, craint que son ex-femme ne se venge à sa sortie.

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Journaliste d'investigation Temps de lecture: 5 min

En 2008, Geneviève Lhermitte fut condamnée à la réclusion criminelle à perpétuité par la cour d’assises de Nivelles pour avoir égorgé ses cinq enfants au domicile familial. La justice a estimé qu’elle était responsable de ses actes et n’a retenu aucune circonstance atténuante. À l’occasion de congés pénitentiaires accordés en juillet et en août 2018, elle est déjà sortie à plusieurs reprises de prison. Elle a pu quitter sa cellule de Berkendael pendant deux matinées pour bénéficier d’un suivi psychologique extérieur.

Ces congés accordés font partie du processus suivi par les détenus qui se dirigent vers une libération conditionnelle. Une sortie de prison que le père des enfants décédés ne peut imaginer et à laquelle il s’oppose fermement. Par le passé, Geneviève Lhermitte s’est vu refuser à plusieurs reprises une remise en liberté sous conditions. Si elle devait quitter les murs de la prison, représenterait-elle aujourd’hui un danger pour la société ?

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