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À la télé ce soir: un épisode de «Capitaine Marleau» ou un docu où les hommes parlent sexualité (vidéo)

Voici notre sélection pour ce mardi 12 novembre. À ne surtout pas manquer !

Temps de lecture: 4 min

Le temps se fait frisquet. Et le soir, plutôt que d’aller boire un verre en terrasse, on se surprend à se mettre devant la télé, bien au chaud. Mais plutôt que de zapper entre les différentes chaînes, Soir mag s’empare de votre télécommande et fait le tour du propriétaire. Suivez le guide !

Les Français au lit, à 20h30 sur La Deux

À quoi rêvent les hommes en matière de sexualité ? En couple, célibataire, libertin, ancien moine ou vierge, chaque homme possède sa propre sexualité. Les témoignages des hommes interrogés reflètent une évolution dans la façon dont ils envisagent leur sexualité. Ils parlent, tantôt avec timidité, tantôt avec aisance, de libération sexuelle et de la découverte de leur corps.

La sexualité masculine phallocentrée n’existe plus, ils assument leur curiosité et essaient d’oublier le formatage sexuel que la société leur a imposé. Une équipe d’experts vient éclairer leurs témoignages.

Capitaine Marleau, à 21h05 sur France 3

À la veille du concert du quatuor dirigé par le chef d’orchestre Alexandre Eckert, le violoniste de la formation est retrouvé mort, flottant dans un étang, sur le lieu de répétition. Au grand dam de ses proches, Alexandre remplace le mort par Christophe, un jeune musicien qu’il a pris sous son aile.

Le capitaine Marleau, chargé de l’enquête, devine qu’un secret lie les deux hommes et s’intéresse aux relations entre le défunt et l’assistante du chef d’orchestre, Joyce Kramer. Marleau craint surtout qu’Alexandre, personnage colérique, autoritaire et égocentrique, ne soit la prochaine victime d’un assassin mû par le désir de vengeance…

Les étoiles de Dominique Deprêtre

Faux-semblants, à 21h05 sur La Trois – Trois étoiles

de David Cronenberg (1988)

Cette histoire de deux jumeaux gynécologues adeptes d’« expériences interdites » a jadis révélé tout le savoir-faire du cinéaste canadien en matière d’ambiance, d’intrigue et de suspense, avec du moins à cette époque, un sérieux penchant pour le film d’horreur. La séquence où les deux inséparables forcément incarnés par le même Jeremy Irons se font séparer par Geneviève Bujold est restée dans les mémoires !

Brick Mansions, à 20h00 sur AB3 – Deux étoiles

de Camille Delamarre (2014)

Le remake US du « Banlieue 13 » de Pierre Morel sorti dix ans plus tôt est spectaculaire et formaté « Besson » à souhait. Ce fut aussi, hélas ! l’avant-dernier film tourné par Paul Walker, décédé dans un accident de voiture alors qu’il revenait d’un gala de bienfaisance, en plein tournage de « Fast & Furious 7 ».

Ben is Back, à 22h40 sur BE 1 – Deux étoiles

de Peter Hedges (2018)

L’auteur de « Coup de foudre à Rhode Island » ayant jadis permis à Juliette Binoche de poursuivre sa carrière internationale avec succès, passe cette fois au drame pur avec ce combat désespéré d’une mère pour sauver son fils toxicomane. C’est Julia Roberts qui incarne l’héroïne avec la conviction qu’on lui connaît depuis le triomphe d’« Erin Brockovich ». Une prestation émouvante dans un récit qui l’est autant nonobstant quelques invraisemblances.

Un traître idéal, à 22h50 sur 13eme Rue – Deux étoiles

de Susanna White (2016)

Toujours bon pied bon œil à 85 ans, le romancier britannique John Le Carré est décidément plus à la mode que jamais avec cette adaptation de son titre « Un traître à notre goût » paru en 2011, par la réalisatrice de « Nanny McPhee et le Big Bang ». Sans manquer d’intérêt, ni de rebondissements, ni même de suspense, le résultat se situe très en deçà de « La taupe » et d’« Un homme très recherché » qui ont mis la barre très haut il est vrai. Ewan McGregor et l’excellent Damian Lewis se partagent la tête d’affiche.

Premiers crus, à 23h00 sur La Trois – Deux étoiles

de Jérôme Le Maire (2015)

L’auteur du prometteur « Requiem pour une tueuse » au scénario malheureusement inabouti remet l’ouvrage sur le métier avec cette saga familiale trop convenue, à l’image d’un bourgogne que le brave Gérard Lanvin ne parvient plus à écouler sans l’aide miraculeuse d’un fils prodigue devenu… œnologue ! On n’atteint jamais la profondeur en bouche du corton concerné, mais la mise en images est superbe.

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