Chantal Goya, accusée d’escroquerie
L’autre samedi, en jouant devant une salle comble, elle a découvert, effarée, un article publié le matin même dans le quotidien français « Sud-Ouest ». C’est ainsi qu’elle a appris être mêlée à une escroquerie contre le Crédit Municipal de Bordeaux.
L’enquête aurait été diligentée parce qu’en dépit d’une interdiction bancaire, elle serait parvenue à obtenir un prêt de 2,2 millions d’euros en donnant en gage des objets personnels à la valeur très inférieure à celle de la somme qui lui aurait été versée. L’affaire serait particulièrement grave puisqu’elle léserait des personnes en difficulté, financièrement aidées par cet établissement public.