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Une soirée Miss Belgique un peu particulière : que faut-il savoir ?

Ce samedi 11 janvier 2020, le concours tiendra son événement annuel avec quelques particularités par rapport aux autres éditions. On fait le tour de la question.

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La Belgique célèbre aujourd’hui sa plus belle femme ! Mais pour cela, il faudra laisser tomber quelques habitudes. Ceux qui pensaient pouvoir regarder le show sur une chaîne de télévision vont devoir se raviser. Miss Belgique ne sera diffusé que sur RTL Play et nulle part ailleurs. Pour le reste, on fait le récapitulatif.

32 candidates et une miss USA

Par rapport à l’année passée, les candidates ne sont plus 30 mais 32. Encore une fois, le sud du pays se retrouve défavorisé. Seulement 13 candidates sont francophones, dont dix wallonnes et trois bruxelloises. A titre de comparaison, en 2019, on comptait une seule et unique bruxelloise et douze wallonnes. On décompte une prétendante pour la province de Luxembourg, comme pour le Brabant wallon, et deux pour les autres provinces wallonnes. Elles tenteront de marquer l’histoire : la célèbre couronne n’a plus été remportée par une francophone depuis Noémie Happart, en 2013.

Pour les détails plus techniques, le concours a lieu à Plopsaland, dans le Théâtre Plopsa pour être précis, à La Panne. Il sera présenté par Miss Belgique 2006, la Limbourgeoise Virginie Claes, et par Gaëtan Bartosz de Radio Contact. Tous les portraits des concurrentes sont disponibles sur le site de RTL play.

Cette année, le jury aura une invitée de marque : Miss USA 2008, Crystle Stewart. Mariée à un Anversois depuis 5 ans, elle a été invitée à participer à la soirée par les organisateurs de Miss Belgique. Invitation acceptée : la plus belle femme des Etats-Unis a ainsi pu conseiller les 32 jeunes Belges.

Ressentis différents

Pour prendre le pouls à quelques heures du grand moment, la DH a interviewé certaines d’entre elles. Bilan : elles ressentent la pression de façon très diverses. Miss Hainaut, Marie Al-Nima, 20 ans, ne s’avoue pas victime du trac : « Je ne suis pas vraiment stressée. […] J’ai beaucoup travaillé et aujourd’hui, je me sens sereine. Il n’y a rien qui me fait vraiment peur, qui me bloque. Je pense que ce que nous allons proposer sera très joli ».

Sa comparse de la même province, Furayah Kayembe, 18 ans, se montre elle plus tendue : « Honnêtement, oui, c’est stressant. On connaît les enjeux et on sait qu’il n’y aura qu’une seule gagnante. C’est la concrétisation de plusieurs mois d’investissement personnel et de travail », dit-elle à la DH.

Pour savoir qui sera la successeuse de l’Anversoise Elena Castro Suarez, il faudra répondre présent à partir de 20h30.

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