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Mensonges, poison, millions: crime au paracétamol?

En 2008, un richissime Australien décède dans un hôtel parisien. Douze ans plus tard, Alexandre Despallières, son amant d’alors, est renvoyé aux assises pour assassinat.

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Leur rencontre remonte à 1988 : Alexandre Despallières séduit Peter Ikin et une idylle de quelques mois naît. Puis ils s’éloignent, jusqu’aux retrouvailles de 2008. En avril, le séducteur français de 39 ans ensorcelle le producteur australien à la fortune estimée à plus de 22 millions d’euros. L’histoire d’amour reprend de plus belle. Un détail attendrit l’ancien boss de la Warner Music, 62 ans au compteur : Alexandre D. lui confie être atteint d’une maladie incurable et souhaite l’épouser pour vivre ses derniers instants à ses côtés. Quelques mois plus tard, la « relation » s’arrête net. Le 12 novembre, le sexagénaire australien meurt dans la chambre d’un hôtel parisien. Douze ans plus tard, le « bel Alex » affronte le jury des assises, accusé d’avoir assassiné son ancien compagnon. Depuis qu’il est dans le collimateur des enquêteurs, il a toujours nié les faits.

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