Plus de 50 stars soutiennent le référendum pour les animaux d’Hugo Clément
De nombreuses personnalités appellent la population à soutenir ce projet destiné à défendre la cause animale, de Nagui à Nicolas Hulot ou encore de Pierre Niney à Pascal Obispo.
Hugo Clément arrivera-t-il à provoquer une petite révolution dans le monde politique français ? C’est en tout cas ce qu’il compte faire avec son référendum d'initiative partagée pour lutter contre la maltraitance animale. Il appelle ainsi les citoyens à le soutenir pour que ce projet puisse devenir réalité. Pour que sa voix ait le plus d’écho possible, pas moins de 53 personnalités ont relayé son message en prenant la parole à leur tour.
Une mobilisation prometteuse
Toutes ces célébrités ont de cette façon réalisé des petits clips vidéos, publiés sur le site officiel du référendum, en interpellant la population. Parmi ceux-ci, on retrouve bon nombre de stars très connues du grand public. Sans toutes les citer, on peut notamment nommer Nagui, Nicolas Hulot, Alessandra Sublet, Yann Artus-Bertrand, Lambert Wilson, Juliette Binoche, Pierre Niney, Stéphane Bern, Nagui, Julien Courbet, Nicola Sirkis, Pascal Obispo, Bruno Solo ou encore Valérie Damidot.
Tous soutiennent les six mesures du projet d’Hugo Clément, dont l’interdiction de la chasse à courre, des élevages à fourrure et en cage, et des spectacles avec des animaux sauvages. But ultime : sortir de l’élevage intensif. Le journaliste a aussi pu compter sur trois patrons français pour lancer le projet : Xavier Niel (groupe Iliad dont Free dépend), Marc Simoncini (Meetic) et Jacques-Antoine Granjon (Veepee). Une vingtaine d’associations se sont également jointes à l’initiative.
Mais pour que cela aboutisse, il va d’abord falloir y aller par étapes. La première consiste à ce qu’une large partie de la population soutienne le mouvement pour que 185 parlementaires au moins soient incités à rallier le projet. Une fois cela fait, il faudra que le référendum réunisse 4,7 millions de signatures (autrement dit 10% de l’électorat français). En mars dernier, la première initiative du genre en France (qui traitait de la privatisation des Aéroports de Paris) avait « seulement » réussi à mobiliser un peu plus d’un million.
