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Louis de Funes, l’immortel forçat du rire

Les grandes vadrouilles de sa vie (5).

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« Vous êtes plus connu que moi ! » En décembre 1972, Georges Pompidou accueille ainsi Louis de Funès, à l’arbre de Noël de l’Élysée. Il est alors au sommet de sa gloire. Numéro un au box-office des entrées, il reçoit plusieurs dizaines de propositions par semaine. L’acteur lit puis choisit. Il refuse le rôle d’Astérix pour mieux se concentrer sur ses « valeurs sûres », à commencer par les comédies de Gérard Oury.

Profondément marqué par la mort de Bourvil, qu’il ne savait pas malade, il accepte de tourner « La folie des grandeurs » parce que le réalisateur a su le convaincre que l’idée lancée par Simone Signoret était bonne : la présence de Montand serait un atout de poids. Il lui fait également confiance lorsqu’il lui propose « Rabbi Jacob ». Traiter, sous la forme d’une comédie, l’amitié entre les Juifs et les Arabes est un challenge qui sera gagné à l’issue de 40 semaines de préparation et trois mois de tournage.

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