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«Affaire conclue»: après son altercation avec Caroline Margeridon, Pierre-Jean Chalençon veut «remettre les choses au clair»

Les deux « amis » se sont violemment écharpés sur les réseaux sociaux et dans les médias. Pour le fan de Napoléon, c’est l’heure des comptes.

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« En général, je suis assez provoc’ », commence Pierre-Jean Chalençon. Avant de se raviser : « Mais alors là, pas du tout ». Pour l’ancien acheteur d’« Affaire conclue », qui a quitté l’émission à la suite d’une virulente controverse, tout cela n’est qu’un terrible malentendu avec sa Caroline Margeridon, une autre acheteuse de l’émission d’enchères de France 2. Toujours est-il que la querelle entre les deux « amis » défraie la chronique depuis quelques jours. Dans une interview accordée à Télé-Loisirs, Pierre-Jean Chalençon tempère et veut « remettre les choses au clair ».

>« Affaire conclue » : insultes et grosse tension entre les « amis » Pierre-Jean Chalençon et Caroline Margeridon

Il faut dire que les choses se sont envenimées ces derniers jours entre Pierre-Jean Chalençon et Caroline Margeridon, comme nous vous l’expliquions le 12 août dernier. À nos confrères, le féru de Napoléon déclare : « Je tiens à démentir formellement et catégoriquement que j’ai cité Caroline Margeridon dans ce texte ». L’acheteuse d’« Affaire conclue » s’est sentie visée par un message dans lequel Pierre-Jean Chaleçon parlait notamment de cafard ou de ringard.

>« Affaire conclue » : Pierre-Jean Chalençon contre-attaque et dézingue un acheteur belge de l’émission

Il poursuit : « Je n’ai absolument pas attaqué Caroline Margeridon et ne cherche pas la bagarre avec elle ». Avant de tacler : « Je pense que sa nouvelle vie lui a fait tourner la tête mais il ne faut pas oublier d’où elle vient, qui elle est et ce qu’elle fait. Je n’ai rien contre elle. Paris est petit, on va se revoir, tout cela rentrera dans l’ordre certainement, si c’est une fille intelligente. Caroline, je pensais que c’était mon amie. A priori, ça ne l’est pas. Cela m’a peiné parce que c’est une fille que j’aime bien. Je ne pensais pas qu’elle était comme cela. J’ai son numéro, elle a le mien. Si on doit se parler, on s’appelle ». Bref, un conflit en passe d’être réglé ?

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