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Crimes passionnels: quand les femmes belges tuent

Retour sur trois histoires dramatiques de chez nous.

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Le 4 août dernier, l’alerte info est lancée : Ilse Uyttersprot, l’ancienne bourgmestre CD&V d’Alost, a été retrouvée morte à son domicile. Le suspect numéro un n’est autre que son compagnon du moment. Un destin tragique, mais un fait divers tristement banal. En 2019, 23 femmes sont mortes parce qu’elles étaient femmes. En 2020, elles sont déjà au moins douze, selon le recensement non exhaustif de « Stop féminicide ». En 2016, l’IWEPS révélait d’ailleurs qu’en Wallonie, « dans cinq affaires d’homicides conjugaux sur six, le prévenu était un homme ». Il reste donc une minorité de cas où c’est la femme qui ôte la vie de son conjoint, son mari ou son amant. Des « anomalies » que la presse n’hésite pas à épingler du fait de leur caractère exceptionnel. « Soir mag » en a sélectionné trois et vous les raconte.

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