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«Le Meilleur Pâtissier»: l’éliminé de la semaine n’est autre que «le JCVD de la pâtisserie» (vidéo)

Pour cette semaine placée sous le thème des États-Unis, c’est le seul candidat à habiter outre-Atlantique qui a dû rendre son tablier et quitter ainsi l’aventure ce lundi 16 novembre sur RTL-TVI.

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Les candidats ont commencé par une revisite du cheesecake, spécialiste américaine. Ils ont enchaîné avec l’épreuve technique de Mercotte où ils devaient réaliser le drapeau des États-Unis. Avant d’entamer « la créative » qui leur demandait d’évoquer un symbole américain. Vous l’aurez compris, l’épisode du « Meilleur Pâtissier » de ce lundi 16 novembre sur RTL-TVI s’était mis en mode USA. Un candidat avait donc l’occasion de se mettre en valeur pour « The American Cream » : François-Xavier. Et pour cause, puisque c’est l’Américain de la bande.

Qu’à cela ne tienne, après plusieurs épreuves ratées et malgré une excitation non-négligeable au moment de l’annonce du thème, FX a été éliminé du concours culinaire diffusé conjointement sur M6 et la chaîne belge. Une déception, fatalement pour celui qui ne s’est pas spécialement senti favorisé par le thème américain. « Pour être honnête, je n’ai pas l’habitude des gâteaux américains. J’ai un style de pâtisserie beaucoup plus minutieux. Mais je savais qu’on allait m’attendre au tournant », a-t-il confié à nos confrères de Sudpresse.

« JCVD, mais pas pour mes muscles »

François-Xavier en a profité pour commenter son aventure : « À l’écran, Cyril et Mercotte me paraissaient très exigeants. Mais en vrai, ils sont extrêmement sympathiques. Entre les candidats, l’ambiance était bon enfant, même si un léger esprit de compétition s’est installé à partir de la cinquième semaine ». Il a également commenté les critiques des internautes sur sa propension à parler en anglais pendant l’émission :

« Oui, mais ça ne m’a pas du tout énervé. Cyril m’appelait d’ailleurs le JCVD de la pâtisserie… et pas pour mes muscles. En fait, durant les épreuves, les journalistes nous posent une tonne de questions. Je manquais souvent de temps à cause de ça. Pour éviter d’en perdre davantage, je répondais en anglais, qui est une langue beaucoup plus directe que le français. C’était plus simple pour moi ».

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