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Maisons de l’horreur : le sang, puis l’immobilier en suspens

Dutroux, Lhermitte, Derochette ou Fourniret : des criminels glaçants. Et des faits divers qui sont rattachés à des adresses. Le parcours immobilier des « maisons de l’horreur » n’est pas sans embûches. Retour sur plusieurs cas belges…

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Des fleurs sans âge décorent une grille de chantier et rappellent que la maison en ruines qui se cache derrière n’est pas qu’un amas de briques et de gravats. La nature a repris ses droits par endroits. Le silence de la place du village accolée à la propriété renforce la tristesse des lieux. Les souvenirs douloureux continuent de hanter Sars-la-Buissière, quand le duo de bouquets fanés fait office de pâle hommage aux victimes de Marc Dutroux. Près de 25 ans après la découverte des corps de Julie et Mélissa enterrés dans le jardin, la maison hennuyère tient toujours debout. Un cadenas bloque l’accès à l’intérieur pour éviter les intrusions malsaines dans la propriété du pédocriminel belge. Il faut dire que les maisons de l’horreur interpellent autant que les fantômes qui les hantent symboliquement sont craints. Une fois l’enquête finie et les imbroglios judiciaires démêlés, qu’advient-il de ces adresses qui ont connu le crime ? La flambée de l’immobilier ne les guette pas : tour d’horizon des exemples belges les plus marquants de ces 30 dernières années.

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