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Le jeu de société «Corona» inventé par une famille allemande connaît son petit succès (vidéo)

Le jeu a déjà été vendu à plus de 2.000 exemplaires. Une idée à glisser plus que tardivement sous le sapin ?

Temps de lecture: 2 min

Quand une idée de la sorte arrive sur le marché, nombreux sont ceux qui tombent des nues en se demandant pourquoi ils n’y ont pas pensé, eux aussi. C’est un peu le cas avec la création du jeu de société « Corona » qui se base sur la crise sanitaire du Covid-19 et sur les situations parfois aberrantes que le virus a pu créer.

Pendant le confinement du printemps 2020, les sœurs de la famille Schwaderlapp ont imaginé un jeu de plateau classique qui s’inspire de la vie pendant le Covid. Si elles ont réagi de la sorte, c’est principalement parce qu’elles ont été interpellées par les restrictions imposées par les autorités mais aussi par les réactions que cela a entraînées dans la population : un exemple parmi d’autres serait la façon dont les rayons des grands magasins ont été vidés à l’annonce du premier confinement.

2.000 exemplaires vendus

Profitant de leur temps libre, les sœurs Schwaderlapp ont imaginé un jeu de société qui s’est développé au gré de l’évolution de la pandémie, comme le révèle le Huffington Post. Après plusieurs mois de travail, le projet est désormais bouclé. Et les règles sont connues. Les joueurs sont munis de différentes cartes et leur but est de remplir une mission : composer un chariot avec la liste de courses demandée par un voisin qui ne peut pas sortir de chez lui car il est à risques.

Bien sûr, le parcours est semé d’embûches : quarantaine obligatoire, pâtes ou papier toilette en rupture de stock et autres joyeuseté de la société au temps du Covid-19. Toujours est-il que ce jeu de plateau n’est pas resté cantonné à la famille Schwaderlapp. Le père, Benedikt, a flairé le bon coup en commercialisant le jeu de société créé par ses enfants. Il s’est associé à un artiste qui a conçu les cartes et le plateau. Pour l’heure, « Corona » a été vendu à plus de 2.000 exemplaires. Et si ça ne s’arrêtait pas là ?

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