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Sharon Stone dévoile les agressions sexuelles qu’elle a subies durant sa vie

L’actrice vient de sortir son autobiographie, l’occasion pour elle de revenir sur les nombreux abus qu’elle a vécue pendant son enfance.

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L’actrice dévoile sa vie et les aspects sombres de son enfance. Alors qu’elle sort une autobiographie, « The Beauty of Living Twice », elle retrace aussi tout le parcours qu’elle a dû traverser. Lorsqu’elles étaient enfants, Sharon Stone et sa sœur ont subi les agressions répétées de leur grand-père, Clarence Lawson. L’actrice a dû y faire face jusqu’à ses 14 ans.

Dans son livre, Sharon Stone explique, qu’elle et sa petite sœur âgée de trois ans de moins, ont été parfois enfermées avec leur grand-père dans une pièce et ont subi ces agressions. Aujourd’hui, Clarence Lawson est mort. Pour l’actrice, il lui a fallu voir le cercueil et le toucher pour réaliser que ce calvaire était bien fini. Elle écrit : « Je l’ai touché, et la satisfaction bizarre qu’il était enfin mort m’a frappé comme une tonne de glace. J’ai regardé Kelly et elle a compris ; elle avait 11 ans, et c’était fini ».

Agression médicale

Ce n’est pas la seule agression dont elle a été victime. Alors qu’elle devait se faire opérer de la poitrine pour faire retirer des tumeurs bénignes, le chirurgien se serait permis de faire des modifications sans l’accord de l’actrice. Ainsi à son réveil, Sharon Stone écrit : « Quand j’ai enlevé les bandages, j’ai découvert que mes seins faisaient un bonnet de plus et d’après lui, ça s’accordait mieux avec la taille de mes hanches. Il avait changé mon corps sans que je sois au courant et sans mon accord ». Une grave erreur médicale, puisque le chirurgien n’a pas respecté le consentement de sa patiente sur les gestes médicaux à pratiquer.

Piégée dans « Basic Instinct »

Enfin, la scène bien connue de « Basic Instinct », lorsque l’actrice écarte puis referme les jambes, est une fois de plus un passage réalisé sans son consentement. Elle écrit : « On m’a piégé pour que j’enlève mes sous-vêtements, on m’a dit qu’ils reflétaient la lumière ». C’est plus tard, au moment d’une projection qu’elle voit la scène : « Non pas seule avec le réalisateur, comme on pourrait s’y attendre, étant donné la situation, mais avec une salle remplie d’agents et d’avocats, dont la plupart n’avaient rien à voir avec le projet ».

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