«L’Amour est dans le pré»: Karine Le Marchand réagit au baiser «cruel» de Jean et Laurence
L’animatrice de l’émission « L’Amour est dans le pré » a été surprise de ce geste.
Les choses sont allées vite lundi 26 septembre dans « L’Amour est dans le pré ». Dans le dernier épisode de l’émission française, l’un des agriculteurs, Jean n’a pas su se retenir. Pendant un slow avec l’une de ses prétendantes, Laurence, l’agriculteur n’a pas hésité et a goulûment embrassé sa prétendante. Seul et gros hic, Nathalie, son autre prétendante était présente dans la pièce et a assisté à toute la scène.
Devant ce manque de tact, les téléspectateurs n’ont pas tardé à réagir. Pour Jean, ce baiser était naturel : « Ça s’est fait plus vite que prévu, la sono a dû me motiver je pense. C’était impeccable, ça partait dans la bonne direction. C’était parfait, c’était de la magie (…) Ce que j’ai craint après, c’est l’orage qui allait arriver derrière parce que normalement, ça n’aurait pas dû se passer comme cela. Je ne regrette pas du tout, faut laisser faire la nature », s’est-il justifié à Télé-Loisirs.
Pour Karine Le Marchand, la scène a également été surprenante et presque difficile à regarder. Toujours dans Télé-Loisirs, elle déclare : « C’est la cruauté de la vie. Personne ne l’a vu venir. Nathalie est sûre de son coup, elle est sûre que c’est elle qu’il va préférer, et tout d’un coup, venu de nulle part… On n’a rien compris ! ».
L’animatrice reconnaît s’être sentie mal à l’aise pour Nathalie : « C’est un moment terrible. La pauvre Nathalie, qui n’est pas plébiscitée par le public, je sais déjà ce qui va se passer sur Twitter. Émotionnellement, je ne le souhaite à personne. Mais ça nous est arrivé à tous. J’ai connu les périodes de boums, il m’est arrivé d’avoir des copines avec qui on était branchées par le même garçon, et tout d’un coup, on tournait la tête, et la copine était en train de l’embrasser, et tu étais sidérée ».
L’animatrice reste cependant contente que son agriculteur ait trouvé quelqu’un avec qui il se sent à l’aise. Elle conclut en glissant : « Il est comme un enfant, et ça touche énormément de voir un homme aussi simple, ça permet de ne pas oublier la chance qu’on a ».
