Kev Adams, le plus jeune parrain du Téléthon, s’engage: «J’étais affreusement impressionné»

Chaque année, le Téléthon se mobilise pour tenter de récolter le plus de fonds possible pour financer la recherche sur plus de 8.000 maladies. L’humoriste, Kev Adams, parraine cette édition qui se déroule du 2 au 3 décembre. Pour cette 36e édition, il est entouré de Sophie Davant, de Cyril Féraud et de Nagui, mais aussi de nombreux autres artistes comme Zazie, Soprano, Patrick Bruel, Jennifer ou encore Capéo. Ensemble, et grâce à l’aide des téléspectateurs, ils comptent bien dépasser les 86 millions d’euros, récoltés l’année passée.

Dans un entretien pour TV Magzine, Kev Adams se dit fier de participer au Téléthon : « Je suis fier d’être le parrain du Téléthon, qui plus est le plus jeune de toute l’histoire de la manifestation et alors même qu’elle fut, en 2009, l’un de mes tout premiers plateaux de télévision. J’étais affreusement impressionné ! Je le suis toujours, mais je suis surtout heureux de participer (…) », annonce-t-il avant d’ajouter : « Je suis fier d’être le parrain du Téléthon, qui plus est le plus jeune de toute l’histoire de la manifestation et alors même qu’elle fut, en 2009, l’un de mes tout premiers plateaux de télévision. J’étais affreusement impressionné ! Je le suis toujours, mais je suis surtout heureux de participer ».

L’humoriste nourrit un engagement depuis longtemps. C’est notamment par son histoire personnelle qu’il est devenu attentif aux défis de la maladie. À TV Magazine, il répond d’où lui vient son engagement : « De ma grand-mère qui s’est beaucoup occupée de moi lorsque j’étais petit garçon et qui a souffert d’une maladie dégénérative des yeux. De mon éducation qui voulait que l’on soit attentif à l’autre. Et de mon métier, forcément. J’ai démarré jeune. J’avais à peine 18 ans quand on m’a proposé de rencontrer des enfants hospitalisés pour la première fois ».

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Il se souvient de ce moment comme quelque chose de difficile, mais en tire une grande leçon : « Je n’avais jamais mis les pieds dans une chambre d’hôpital et m’en souviens comme d’un grand bouleversement. J’en suis sorti en me disant d’abord que l’on ne m’y reprendrait pas. Puis j’ai compris que ce n’était pas pour moi que je l’avais fait, mais pour eux, et que, pour eux, je le ferai encore, avant d’ajouter encore : Au fond, avoir la chance de faire rire ou vibrer ne serait-ce qu’un enfant malade est la plus grande des gratifications. Et si ce ne sont pas les artistes qui se mobilisent, qui le fera ? Pas les politiques en tout cas… »

Rendez-vous ce soir sur France 2 pour voir la fin du Téléthon, mais aussi sur le site pour donner  : https ://www.afm-telethon.fr/fr

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