À la télé ce soir: «The Voice» ou «Capitaine Marleau»
Votre sélection pour ce samedi 3 juin, à ne pas manquer !
« The Voice », à 21h10 sur TF1
Ils étaient près de 100 à se présenter sur le plateau du télé-crochet pour espérer voir les fauteuils se retourner. Ils ne sont désormais plus que quatre finalistes, tous avec le même objectif : être sacré «The Voice» 2023 au terme de la soirée. Pour ce faire, les talents vont devoir donner le meilleur d'eux-mêmes en chantant un titre en solo et un autre en duo avec des invités venus les encourager. Une fois encore, les téléspectateurs seront les seuls à désigner le gagnant de cette saison. Ce dernier aura la chance de remporter un contrat avec Universal Music et de voir son rêve de devenir artiste se réaliser. Alors qui va conquérir le coeur du public ?
« Capitaine Marleau », à 20h20 sur La Une
Le capitaine Marleau prend ses fonctions dans une petite ville d'Alsace. Le jour de son arrivée, une jeune femme espagnole tombe du quatrième étage d'un hôtel quasiment sous ses yeux. Plusieurs indices troublent Marleau, lui laissant supposer qu'il ne s'agit pas d'un suicide. Forte de ses convictions, le capitaine va se lancer dans une enquête qui la conduira au sein d'une abbaye.
Les étoiles de Dominique Deprêtre
« Le maître de guerre », à 20h05 sur Tipik - Trois étoiles
de Clint Eastwood (1986)
Quand Dirty Harry enfile l’uniforme des Marines, ce n’est pas pour faire de la figuration : on est encore loin des « Mémoires de nos pères », mais c’était déjà très efficace et même déjà critique envers l’armée US qui refusa d’ailleurs son soutien au film, au contraire du Corps des Marines. Le titre fut nominé aux Oscars dans la catégorie du meilleur son attribué à « Platoon ».
« Don’t Worry Darling » (1re V), à 20h30 sur BE1 -Trois étoiles
de Olivia Wilde (2022)
Présenté avec succès à la Mostra et au Festival de Deauville, ce deuxième long-métrage de l’expressive actrice new-yorkaise ne manque ni d’ambition ni d’un évident savoir-faire au niveau de la création d’une ambiance. Cette plongée virtuelle et visuellement impeccable dans les années 50 s’achève en thriller de façon interrogative et passionnante.
« Le bonheur est dans le pré », à 22h05 sur RTL tvi - Trois étoiles
d’Étienne Chatiliez (1995)
Une pluie de nominations mais un seul César à la clé, celui d’Eddy Mitchell sacré meilleur acteur dans un second rôle. Cette comédie d’une rare intelligence méritait mieux. La même année, Michel Serrault reçut la récompense suprême pour un autre film moins mémorable, « Nelly et Monsieur Arnaud ».
« The Passenger », à 20h05 sur RTL club - Deux étoiles
de Jaume Collet-Serra (2018)
Après « Sans identité » puis « Night Run », le réalisateur catalan signe sa troisième collaboration avec le grand Liam Neeson au service d’un récit pratiquement en temps réel, dont le rythme va crescendo jusqu’au bouquet final attendu et techniquement sans bavure. L’histoire reste très complexe et pour tout dire, un peu trop. Voilà donc ce qu’on peut qualifier de vrai casse-tête pour un train d’enfer.
« La 7e compagnie au clair de lune », à 20h35 sur RTL tvi - Deux étoiles
de Robert Lamoureux (1977)
Le passage, bien malgré eux, du chef Chaudard et des soldats Tassin et Pitivier dans la Résistance s’accompagne au moins de quelques séquences mémorables – celle où ils se font passer pour des aviateurs anglais pour essayer de duper Jean Carmet est irrésistible – dans cet ultime volet de la trilogie, marquant aussi la retraite définitive de son auteur en tant que réalisateur.
