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Charles Consigny revient sur le clash avec Muriel Robin

Le chroniqueur de Laurent Ruquier revient sur son altercation avec Muriel Robin dans « On n’est pas couché », en accordant une interview au Figaro.

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Samedi dernier, Marc-Olivier Fogiel et Muriel Robin étaient invités dans l’émission de Laurent Ruquier « On n’est pas couché ». L’animateur était là pour présenter son livre dans lequel il parle de son parcours en gestation pour autrui (GPA). Mais en face de lui, Charles Consigny, le nouveau chroniqueur de l’émission, s’est montré très conservateur et critique envers le livre et les propos sur la GPA. Très vite, il a été recadré par Muriel Robin qui n’appréciait par son ton. Une altercation verbale a alors éclaté entre ces deux personnes.

Dans une interview au Figaro, Charles Consigny revient sur cet épisode. Il admet qu’il se doutait que l’interview avec Marc-Olivier Fogiel ne serait pas facile mais il ne pensait pas qu’une dispute éclaterait avec Muriel Robin. En s’étant beaucoup renseigné sur la GPA avant l’émission, il avoue être contre cette pratique : « J’ai pu constater qu’il s’agissait d’une pratique absolument indéfendable et à combattre ».

Il semble désormais regretter cet épisode même s’il trouve étonnant que Muriel Robin ait joué une défenseuse des femmes battues en incarnant Jacqueline Sauvage sur TF1 puis qu’elle défende la GPA, « qui est à mon sens le dernier stade des violences faites aux femmes », explique Charles.

Il a pu dire ce qu’il voulait sur le sujet

Si Laurent Ruquier a donné principalement la parole à ses invités, Charles Consigny ne semble pas s’en formaliser : « À mon avis, il ne voulait pas qu’on s’enferme dans un conflit hystérique ». Et il estime avoir pu dire ce qu’il voulait sur le sujet.

Malgré les disputes et les clashs, le chroniqueur prend toujours du plaisir à venir dans « On n’est pas couché », « tant que la contradiction (...) est respectée, et que je peux donc répondre aux attaques dont je ferais l’objet ». Il ne semble pas non plus craindre que l’on ne retienne que ces éclats. « Ils ont le mérite d’inciter les personnes qui n’auraient peut-être jamais regardé ce débat à le regarder et à se faire un avis dessus ».

Montrant encore une fois son aversion pour la GPA, il conclut en disant : « Les téléspectateurs ont pu ouvrir les yeux sur la réalité de la GPA qui est un instrument de marchandisation du corps des femmes ».

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