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Gouvernement belge: les gagnants et les perdants de la crise

Charles Michel a sauvé sa tête mais se retrouve désormais chef d’un gouvernement minoritaire, toujours ultra-dépendant d’une N-VA qui a encore pris de l’importance en claquant la porte…

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Rédacteur en chef Temps de lecture: 5 min

L’image fera date. Lundi, en temps que chef du gouvernement belge, Charles Michel a avalisé le « Pacte des migrations » au sommet de l’ONU à Marrakech. Ce texte vise à organiser la coopération entre les nations, pour encadrer les migrations. Plusieurs pays, emmenés par des dirigeants populistes, comme la Hongrie de Victor Orban, l’Autriche de Sebastian Kurz ou les États-Unis de Donald Trump, ont refusé de signer ce pacte. Pendant trois semaines, la N-VA a, elle aussi, tenté d’empêcher la Belgique de ratifier le texte. Charles Michel et ses partenaires flamands de l’Open VLD et du CD&V ont tenu bon, obtenant un vote d’appui des deux tiers du Parlement, forçant la N-VA à quitter le gouvernement.

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