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Venezuela: les journalistes français de «Quotidien» racontent leur détention (vidéos)

Les journalistes de «Quotidien», l’émission télévisée française présentée par Yann Barthès, ont raconté lundi leur détention pendant deux jours par les forces de l’ordre vénézuéliennes dans leur programme sur TMC.

Temps de lecture: 2 min

Pierre Caillé et Baptiste des Monstiers étaient en train de filmer aux alentours du palais présidentiel de Caracas avec un producteur local, mardi 29 janvier, quand ils ont été contrôlés. Ils étaient entrés sans visa de journaliste au Venezuela, pays traversé par une grave crise politique.

« Au moment où l’on décide de partir pour le Venezuela, obtenir un visa de presse est très compliqué. (…) On s’est dit qu’il fallait y aller maintenant plutôt que d’attendre trois semaines ou un mois », a expliqué Baptiste des Monstiers.

Arrêtés par les forces de l’ordre, parfois menottés et sans possibilité de communiquer avec leur ambassade, les deux jeunes journalistes ont été transférés dans plusieurs lieux de détention, et notamment l’Hélicoïde, le siège des services secrets vénézuéliens. Ils y ont croisé trois journalistes de l’agence espagnole Efe, retenus eux aussi.

À ce moment-là, « ils nous prennent pour des espions, du personnel diplomatique sous couverture, on ne sait pas très bien », a expliqué Baptiste des Monstiers. « Ça a été les montagnes russes », a souligné Pierre Caillé.

Les deux journalistes ont été expulsés jeudi après que la France, notamment, a exigé leur libération. L’entièreté de leur témoignage est à retrouver ici.

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Venezuela: les journalistes français de «Quotidien» racontent leur détention (vidéos)

Les journalistes de «Quotidien», l’émission télévisée française présentée par Yann Barthès, ont raconté lundi leur détention pendant deux jours par les forces de l’ordre vénézuéliennes dans leur programme sur TMC.

Temps de lecture: 2 min

Pierre Caillé et Baptiste des Monstiers étaient en train de filmer aux alentours du palais présidentiel de Caracas avec un producteur local, mardi 29 janvier, quand ils ont été contrôlés. Ils étaient entrés sans visa de journaliste au Venezuela, pays traversé par une grave crise politique.

« Au moment où l’on décide de partir pour le Venezuela, obtenir un visa de presse est très compliqué. (…) On s’est dit qu’il fallait y aller maintenant plutôt que d’attendre trois semaines ou un mois », a expliqué Baptiste des Monstiers.

Arrêtés par les forces de l’ordre, parfois menottés et sans possibilité de communiquer avec leur ambassade, les deux jeunes journalistes ont été transférés dans plusieurs lieux de détention, et notamment l’Hélicoïde, le siège des services secrets vénézuéliens. Ils y ont croisé trois journalistes de l’agence espagnole Efe, retenus eux aussi.

À ce moment-là, « ils nous prennent pour des espions, du personnel diplomatique sous couverture, on ne sait pas très bien », a expliqué Baptiste des Monstiers. « Ça a été les montagnes russes », a souligné Pierre Caillé.

Les deux journalistes ont été expulsés jeudi après que la France, notamment, a exigé leur libération. L’entièreté de leur témoignage est à retrouver ici.

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