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Chantal Goya: «M’arrêter? Mais ça va pas la tête!»

Le 3 novembre, elle sera sur la scène de Forest National. Elle reprend son « Soulier qui vole », qui vient de créer l’événement à Paris.

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« Votre présence est une réponse à ceux qui disaient que la petite Chantal était définitivement au placard ! » À la fin des trois représentations du « Soulier qui vole » au Palais des Congrès, Chantal Goya a ainsi remercié les parents et les enfants se bousculant au pied de la scène pour l’embrasser et lui offrir des fleurs. À chaque fois, derrière le rideau, Jean-Jacques Debout, la gorge serrée par l’émotion, a découvert, stupéfait, une salle comble : 3.723 fauteuils occupés ! Il n’y avait plus un strapontin de libre et plusieurs centaines de fans sont restés dehors après avoir tenté, en vain, d’acheter un billet à la dernière minute. Dans la foulée, des prolongations ont été annoncées pour les 5 et 6 octobre. Dès l’ouverture de la location, plusieurs centaines de tickets ont été vendus en moins d’une journée. Le bouche-à-oreille ayant été immédiat, des dates supplémentaires d’une tournée prévue pour deux ans ont été signées en France, mais aussi en Afrique, à Tahiti et en Russie.

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