«The Division 2»: la bonne surprise du mois (vidéo)
Après un premier volet séduisant, le shooter post-apocalyptique coopératif d’Ubisoft revient à la charge avec un second épisode qui joue brillamment la carte de la surenchère.
Comme son ancêtre, « The Division 2 » souffre d’un scénario ultra-patriotique dans la veine de la plupart des autres productions Tom Clancy. Son univers post-apocalyptique le démarque des « Rainbow Six » et autres « Ghost Recon », mais suivre la trame principale n’aura pas beaucoup d’intérêt. On regrettera d’ailleurs d’entrée de jeu qu’Ubisoft poursuive sa stratégie qui consiste à concentrer tous ses efforts sur une expérience open-world ultra-personnalisée avec un système de création de personnage pointu, aux dépens d’une narration plus efficace. Car oui, le personnage central de l’histoire aurait gagné à être plus travaillé. Les personnages secondaires aussi d’ailleurs. De façon générale, si les cut-scenes sont plutôt réussies, on aura tendance à les zapper assez rapidement pour entrer dans l’action.