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Sur les traces des industriels belges en Chine

Nos industriels et financiers ont été très actifs en Chine jusqu’au début du XXe siècle. Et Léopold II n’y est pas étranger.

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Déjà prince, le deuxième roi des Belges avait des visées sur l’Extrême-Orient. Il était d’ailleurs en train de négocier l’acquisition de concessions à Formose lorsqu’il fut rappelé en Belgique, la santé de son père devenant chancelante. Aussi, devenu roi, n’est-il pas étonnant qu’il demande à son plus proche diplomate, le baron Auguste Lambermont, d’envoyer en Chine et au Japon une commission d’études afin « d’y étudier la possibilité d’y créer quelques sociétés, soit pour un chemin de fer, soit pour l’exploitation des mines, soit pour l’exécution des canaux ou des travaux publics ». Il rêvait, en fait, de « créer une société belge universelle ayant son siège à Bruxelles et qui deviendrait petit à petit pour la Chine ce que la Compagnie des Indes de Londres était devenue pour l’Empire britannique. »

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