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L’alcoolisme, ce fléau trop peu combattu

L’édito de Marc Pasteger.

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Rédacteur en chef jusqu’à son décès en 2022 Temps de lecture: 2 min

Dimanche prochain, il y a ceux qui boiront un coup dans le but de célébrer leur victoire et ceux qui feront la même chose afin d’oublier qu’ils ont perdu. On vous dit ça parce que le propos est doublement d’actualité. La Belgique s’apprête à voter et tous les prétextes étant bons pour boire, la consommation d’alcool inquiète les observateurs. Voici cinq ans, l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) s’était fixé comme objectif sur douze ans de réduire la consommation d’alcool de 10 %. Nous ne sommes même pas arrivés à la moitié du terme que, déjà, l’OMS peut dire que le défi ne sera pas relevé. Le Dr Manthey, l’un des spécialistes de la question, a même insisté lourdement : « L’alcool va au contraire rester l’un des principaux facteurs de risque pesant sur la morbidité dans un avenir prévisible et son impact va probablement s’accroître comparativement aux autres facteurs de risque. »

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