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Albert II astreint par la justice: ce qu’il risque et ce qu’il prépare

L’ancien souverain doit faire le test ADN ou payer 5.000 euros par jour de retard au test ADN. Tous les scénarios.

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Journaliste Temps de lecture: 5 min

Si l’affaire est encore loin de connaître son terme, le roi Albert II vient d’être secoué d’une manière inédite par la justice belge. Dans la longue bataille judiciaire qui oppose notre ancien souverain à l’artiste plasticienne Delphine Boël en quête de reconnaissance d’une royale paternité, la cour d’appel de Bruxelles met la pression sur l’ancien chef de l’État.

Pour rappel, le 25 octobre 2018, elle avait déjà arrêté que l’industriel Jacques Boël n’était pas le père légal de Delphine, contredisant le jugement de première instance. Dans la foulée, elle avait ordonné au roi Albert de se soumettre à un test d’ADN dans les trois mois à compter de sa décision. Elle vient à la mi-mai d’entériner la demande des avocats de la plaignante qui souhaitaient assortir cet arrêt d’une astreinte de 5.000 euros par jour de retard.

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