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La liberté d’expression régresse

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C’est Laurent Ruquier qui a poussé ce coup de gueule dans « Le Journal du Dimanche » : «  Nous vivons sous la dictature de Twitter (…). Nous sommes en permanence la proie des lobbies, des associations, de corporatismes catégoriels, du communautarisme… Or, ce qui est grave, c’est que les journalistes eux-mêmes s’y mettent !  » Et de dénoncer les agissements d’anciens collaborateurs de « On n’est pas couché », Audrey Pulvar et Aymeric Caron, flinguant Christine Angot «  pour sa maladresse  ». Ruquier enfonce le cou : « Twitter a rendu folle une profession à la dérive, qui se tire une balle dans le pied. Viendra le jour où les journalistes, s’ils ne se ressaisissent pas, ne pourront plus rien dire à force de taper sur des confrères qui sortent du lot et vont à contre-courant de la bien-pensance ou de la pensée unique. »

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