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Didier Van Cauwelaert : «Un livre réussi est un livre qui laisse des traces»

Didier Van Cauwelaert veille à ne pas se répéter afin de ne pas lasser le lecteur.

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Temps de lecture: 4 min

À 23 ans, Max est conducteur grutier de fourrière à Paris. Un jour, il embarque une limousine noire aux vitres teintées mal garée. Mais une fois en route, on lui signale la présence d’une femme sur la banquette arrière. Paniqué à l’idée d’avoir commis une faute grave, il décide de déposer la vieille dame aux urgences de l’hôpital le plus proche car elle a l’air mal en point. Elle reprend alors connaissance et le confond avec son amour de jeunesse mort durant la guerre. Max découvre que cette femme est en réalité Madeleine Larmor, une héroïne de la Résistance, à la tête d’une des plus grandes marques de biscuits en France, et que son neveu tente de se débarrasser d’elle en prétextant la maladie d’Alzheimer pour hériter de son empire. Madeleine décide alors d’offrir à Max les clefs de son avenir. Le destin du jeune homme bascule, entraînant avec lui celui de Samira, son amour inaccessible.

Comment le roman s’est-il mis en place ?

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