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À boire et à manger: du chicon au camembert

Quelques anecdotes concernant les chicons, les fruits de la passion et les camemberts.

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Rédacteur en chef jusqu’à son décès en 2022 Temps de lecture: 2 min

C’est à M. Béziers, jardinier chef de la Société d’horticulture belge, que l’on doit l’invention d’une chicorée baptisée « witloof » (feuille blanche en néerlandais). Par la suite, dans la partie francophone du pays, mais également dans le Nord de la France, elle sera baptisée « chicon ». Dans les années 1880, les premiers cageots arrivèrent de Belgique aux Halles de Paris sous la dénomination « witloof ». Le crieur ne sachant pas comment prononcer le mot improvisa et annonça : « Des endives de Bruxelles ! » L’endive était née.

En dégustant un fruit de la passion, vous avez peut-être cru qu’il évoquait une passion amoureuse. Détrompez-vous : la passion qu’elle évoque est celle du Christ ! L’histoire est née dans la tête de quelques jésuites évangélisant les Indiens d’Amérique centrale. Ils découvrirent ce joli fruit et virent dans sa forme, sa fleur, ses pétales, ses étamines et son pistil des symboles de l’épisode tragique de la fin de vie de Jésus.

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