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États-Unis: à 83 ans, cette grand-mère est accro à Tinder

Elle enchaîne les partenaires sexuels et en aurait déjà eu plus de cinquante.

Temps de lecture: 2 min

Originaire de New York, Hattie Retroage est une grand-mère de 83 ans à la vie sexuelle épanouie. En effet, grâce à l’application de rencontres Tinder, elle multiplie les partenaires. Elle assure totalement le fait d’aimer les hommes plus jeunes qu’elle, capables de la satisfaire pleinement. Et pas question de mentir, sur son profil Tinder elle se présente de la sorte : « Hattie Retroage, 83 ans, une beauté mûre. Cherche partenaire/amant plus jeune pour partager une vie pleine d’aventure et de passion. Fans de Trump et coureurs de jupons s’abstenir  ». Le message est clair.

Cela fait maintenant huit mois que l’active octogénaire utilise l’application pour se procurer des amants occasionnels. Elle ne cherche pas de relation stable mais bien des moments de plaisirs. « Je baise, je couche, je fais l’amour avec beaucoup d’hommes et aucun d’entre eux n’a dit : ‘Je te veux pour la vie’  », confie-t-elle. Car depuis qu’elle utilise Tinder, elle aurait déjà eu plus de cinquante partenaires sexuels, dont le plus jeune n’avait que 19 ans. « Mais si j’avais su, je n’aurais probablement pas couché avec lui ! », indique-t-elle dans un reportage diffusé sur la chaîne Youtube de Barcroft TV.

« Les hommes âgés, eux, se préoccupent de l’âge, mais les jeunes ne pensent pas à l’âge, ils n’ont pas peur. Les jeunes hommes aujourd’hui sont excités de voir une femme excitée, c’est très différent de quand moi j’étais jeune  », explique-t-elle. Ancienne danseuse, Hattie a été mariée pendant plus de 25 ans. Sa vie sexuelle avec son mari était merveilleuse selon la grand-mère. « Cependant, quand les enfants sont partis à l’université, ça a brisé la dynamique  », a-t-elle ajouté, en expliquant qu’elle avait divorcé à l’âge de 55 ans.

À la suite de sa rupture, elle a commencé à placer des annonces dans un journal local. « Je faisais passer des auditions. J’avais de nombreux rendez-vous et beaucoup d’hommes  », s’amuse-t-elle encore. Aujourd’hui, place aux nouvelles technologies et à Tinder. Si beaucoup la considèrent comme une ‘cougar’, Hattie n’apprécie par ce terme peu flatteur : « Je ne suis pas une bête qui cherche une proie. Je ne rôde jamais. Je n’approche jamais un homme, les hommes m’approchent toujours  ».

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