François de Closets, le contrebandier de la BD
Sur son passeport, à la ligne « profession », il aurait pu écrire « contrebandier ». C’est ainsi qu’il définit son privilège et sa jouissance : à 84 ans, il continue à travailler douze heures par jour.
Quand il a atteint l’âge de la retraite, il s’est demandé s’il devait respecter la loi en cessant toute activité. Son hésitation a été courte. Éternel curieux dans l’âme, il avait touché à bien des genres, de la science à l’économie, et éprouvait, plus que jamais le désir d’explorer d’autres domaines.