Qui ne connaît Zola, fils d’un immigré italien, cet écrivain immense qui écrivit « L’Assommoir » en 1876, « Nana » en 1879 et « Germinal » en 1885, pour ne citer que ces trois titres de la saga des « Rougeon-Macquart » ? L’homme est aussi un auteur engagé, lui qui signa le célèbre « J’accuse » pour défendre Dreyfus. Mais ce que l’on connaît moins, ce sont les femmes de sa vie et leur importance. Il y a d’abord Alexandrine Meley, qui se fait appeler Gabrielle, une ouvrière devenue modèle pour Édouard Manet que Zola épouse en 1870. Et...
Emile Zola, côté cœur
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