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Comme dans «The Crown»

L’édito de Marc Pasteger.

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À côté de Kate, William, Meghan ou Harry, son frère Charles et, bien sûr, ses parents, le prince Andrew était, jusqu’à l’été dernier, plongé dans l’ombre. Il en est brièvement sorti en 2018 à l’occasion du mariage de l’une de ses filles, la princesse Eugénie, et y était retourné presque aussitôt. Il revient au-devant de la scène de la pire des façons. Soupçonné puis accusé dans l’affaire Epstein, celui que l’on appelle « le fils préféré de la Reine » a choisi de se justifier devant les caméras de télévision, de la BBC of course. Il voulait s’expliquer, convaincre les foules de son honnêteté et de son innocence. Naïf, présomptueux, arrogant ou mal préparé, voire les quatre à la fois, Andrew est sorti de cette prestation avec une image catastrophique. Au point d’être forcé de se retirer de la vie publique et d’obliger Buckingham à le désavouer. L’affaire atteint un niveau de gravité que la monarchie anglaise n’avait plus subi depuis la mort de Lady Diana en 1997.

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