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Demi-finale de Mask Singer : qui encore en lice et quels indices ?

Il ne reste plus que six concurrents à découvrir et qui résistent encore au jury. On vous rafraîchit l’esprit en vous redonnant toutes les cartes en main pour ce soir.

Temps de lecture: 5 min

L’émission commencée début novembre touche tout doucement à sa fin. Après Marie-José Pérec, Sheila, Lio et Smaïn, ce sont Yves Le Coq et Joyce Jonathan qui ont été révélés lors de la dernière soirée. Alors, qui sont ceux qui restent ? De quels éléments disposons-nous pour les démasquer ?

L’aigle

Cette personnalité est une figure connue du public depuis un bon moment puisqu’elle est habituée des caméras et des festivals, dont celui de Cannes mais aussi celui célébrant les César. Il s’agit donc d’une personnalité du monde du cinéma qui a « souvent fait partie d’une équipe » et qui a prêté sa voix à une production américaine. C’est dans cet environnement international qu’il a « rencontré des Terriens très influents, en France et dans le monde ». Il dit connaître le Petit Nicolas et avoir défendu la Reine d’Angleterre.

Outre le milieu du cinéma, il dit venir d’une grande famille qui a la musique « dans son ADN ». Question de brouiller un peu plus les pistes, il évoque d’autres activités, comme l’écriture « qui réunit toutes ses passions ». Il a porté bien d’autres costumes que celui de Mask Singer et plusieurs objets lui sont attribués : des crayons de couleur d’une part, un pistolet et un boulet attaché au pied de l’autre, découverts via son magnéto.

Enfin, ses traits de personnalité. Ce n'est « pas un ange », il a « des facettes mystérieuses », il n’a pas « peur du débat et des polémiques » et il ne plait pas « à tout le monde ».

Le cupcake

Professionnellement, cette personne a changé de cap. Aujourd’hui, il se « tourne vers les autres » pour les « aider à s'améliorer » et les « entraîner vers la victoire ». Indice intéressant : elle a eu du succès en Pologne. Il a « toujours une info à sortir », observe les gens pour les imiter et a « beaucoup travaillé pour chanter juste » grâce à des cours de chant.

Pourtant, il a déjà chanté en espagnol et en chinois. Il vient d’ailleurs d’un environnement bilingue avec un père qui parle français et une mère qui parle anglais. On lui demande à ce propos souvent s’il est canadien. Ce cadre très multiculturel est d’autant plus fort qu’il s’est associé au drapeau de la Corse et de la Bretagne. Autre symboles associés au cupcake : les chiffres 2001 et 40 ainsi qu'un maillot de football avec le numéro 3.

Il se décrit comme « plein de douceur, réconfortant, mais aussi flamboyant », ayant pour but d’« être le premier, d'aller plus haut, de se dépasser ». Un esprit compétitif donc, mais aussi un corps « en accord avec son esprit, [avec] des tatouages qui sont tous en lien avec son métier ». Enfin, il laisse planer un certain doute en disant qu’il n’a pas « des enfants ».

La licorne

Difficile de dire exactement de quel milieu professionnel la licorne vient. Comme elle le dit, elle aime « brouiller les pistes » et « personne ne connaît [son] parcours ». Elle a pris par exemple plaisir à dire qu’elle n’était pas décoratrice d’intérieur tout en adorant ça, qu’elle n’était pas chanteuse tout en ayant une voix connue…

On peut cependant dire qu’elle a « fait partie d’un groupe dont beaucoup ont eu un parcours prodigieux ». Elle aurait même changé « la vie de beaucoup de gens ». C’est autant une habituée de la télévision que du cinéma, d’où le fait qu’elle ait rencontré Elton John, Oasis et Bruce Sprinsteen. Elle a d’ailleurs « beaucoup d’inspirations anglaises et américaines » et « vécu dans la même ville que les Beatles ».

Elle « aime faire rire le public et jouer des personnages », dit-elle. Elle est « rock », « aime toutes les histoires, mais surtout les écrire » et s'est « glissée dans la peau de nombreux personnages ».

Le lion

Le lion a une allure impressionnante sans pour autant être sportif. Il n’est pas cuisinier non plus mais il a déjà travaillé dans le milieu du cinéma et a « accédé aux plus hautes marches du pouvoir ». On a d’ailleurs vu l’Elysée dans une vidéo le concernant. Autre facette de son parcours, il est « devenu un fin gourmet » qui fait partie d’un «club très exclusif ». Il a sorti un album mais il n’a « pas convaincu ». Ce parcours paraît très erratique, ce qui tient peut-être au fait qu’il s’est « battu pour en arriver là ». Il est même parti en Asie et en Amérique.

Du point de vue de la personnalité, c’est un « chef de meute » qui « incarne l’autorité » pour « mieux protéger ses lionceaux ». Autre élément de sa famille : son attachement à sa grand-mère qui lui a permis de trouver sa voie. Son objet est un vélo rouge; « tout terrain, comme moi ».

Le panda

On peut plus facilement identifier le panda à un milieu professionnel ciblé : celui de la musique. Il a fait « huit albums » en vendu « des tonnes de disques ». Ado, il adorait le rap, le hip-hop et le break dance et avait déjà commencé sa carrière. Il a même fait son bac en même temps d’une tournée. Il s’est notamment inspiré de MC Solaar, IAM et Passi avec lesquels il a travaillé. Il a déjà tenté l’aventure d’un concours de télévision mais il en a refusé plusieurs fois un autre.

Sur le plan personnel, il est au carrefour des cultures et des langues, a rencontré son âme sœur lors d’un cours de théâtre, affirme « adorer taffer en groupe » et « aller au bout de ce qu'il entreprend ». Il s’associe à un thé à la menthe et a plus de 35 ans.

Le paon

Le paon a manifestement testé les arts de la scène. Il a même chanté « devant des milliers de personnes ». Mais c’est à Hollywood qu’il s’est épanoui, « après avoir fait ses preuves dans l’Est ». Depuis, il a rencontré Bradley Cooper, Jim Carrey, Owen Wilson… et « même sauvé la vie de Kate Hudson ». Après des succès qui ont « marqué le public », il a fini par être nommé aux Oscars après 2010. De façon plus énigmatique, il précise qu’à « la télé, à la radio ou ailleurs, certains aimeraient lui clouer le bec ».

Sur le plan personnel, il prend soin de son apparence (qui « a été un atout ») et est tombé en dépression pour ne pas savoir « vivre simplement », laissant tomber ses autres passions : basket, football, tennis… Depuis, alors qu’il a maintenant plus de 50 ans, il a « ouvert une nouvelle page de sa vie ». Un dernier indice : un plateau de citron et de gingembre.

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