Boris Vian

Non, le cabaret n’a pas vendu son âme

Abonné au monde de la nuit et de l’interdit, le cabaret ne perd-il pas une partie de son âme (rebelle), de sa culture (jusqu’ici marginale), de ses codes (iconoclastes), en allant à la télé et sur les scènes institutionnalisées ? N’est-ce pas l’essence du cabaret de ne pas rentrer dans les cases ?