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Alain Cadéo: «L’émerveillement de l’enfance est essentiel»

Alain Cadéo nous emmène en voyage au bout du monde et de nous-mêmes. Il faut se perdre pour se retrouver.

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Au pied d’un volcan assoupi, Mayacumbra est un petit village niché dans la brume où viennent se réfugier les âmes en peine. Dans ce coin perdu, chacun possède ses ombres et ses secrets. À la fin d’une longue errance, après avoir quitté les siens, Théo se joint aux membres de la communauté hétéroclite de Mayacumbra. Sur les flancs du volcan, le jeune homme se construit un refuge, en communion parfaite avec la nature et… avec son âne Ferdinand. S’il ne sait pas au départ ce qui l’a guidé vers ce village, il ne vit désormais plus que pour la belle Lita et les mots qu’il couche sur le papier. Pourtant, le fragile équilibre de Mayacumbra risque à tout moment de se rompre.

Vous avez choisi de ne pas rythmer votre texte en chapitres, de décrire un village imaginaire, sans situation géographique précise… Est-ce dans le but de donner une dimension intemporelle, universelle, à votre roman ?

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