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Dans les prisons belges: les forçats d’après-guerre

De 1945 à 1948, le camp d’Erbisœul hébergea 52.000 prisonniers allemands. Ces vaincus participèrent à la reconstruction de la Belgique. Sombre punition.

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Journaliste Temps de lecture: 3 min

Ils avaient le grand tort d’avoir perdu la guerre. Ils appartenaient au mauvais camp. Ils avaient détruit et ils allaient devoir réparer avec leurs bras, leur sueur et leur peine. Les prisonniers allemands de Belgique sont le sujet d’un livre émouvant signé par Pierre Muller et Didier Descamps. L’historien de l’UCL et le spécialiste d’histoire locale ont joint leurs forces et leurs infos pour raconter cet épisode méconnu : celui de 52.000 captifs transformés en main-d’œuvre gratuite au camp américain de Ghlin-Erbisœul.

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