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Télétravailleur.euse.s

L’édito de Daniel Van Wylick, Directeur général.

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Il n’y a aucune bravoure à braver l’interdit, il n’y a pas davantage de faiblesse à respecter les consignes. Si on a pu, un moment, opposer les uns et les autres, l’heure est maintenant à la prise de distance, mentale comme physique. Le confinement, très pénible pour certains, ne fait pas de nous des demeurés ! On n’y était pas prédisposés, mais il faut se faire une raison : cela va durer. Le télétravail occupe l’espace sans trop de limites avec la vie privée. Il se répand comme une tache d’huile. Skype zoome même sur un coin de nos intérieurs… Il convient, car c’est meilleur pour la santé et le moral, de délimiter les sphères, en créant un temps pour tout. De ne pas se laisser totalement envahir par l’absence horaire. Le courage ne se place pas dans le présentéisme 24 heures sur 24, faussement héroïque, alors qu’il peut prendre des formes nouvelles, collaboratives et solidaires. L’efficacité, au demeurant, ne se mesure pas uniquement au temps ou au rythme de travail. Mais aux résultats.

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