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L’histoire à table où Rothschild souffle le froid

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Journaliste Temps de lecture: 2 min

Ne nous voilons pas la face. Pour oser espérer un jour donner notre nom à un plat ou à un dessert – une appellation qui dépasse les frontières de notre domicile et de notre cercle d’amis –, il faut être soit un génial cuisinier ou pâtissier, une star, ou alors il faut être… très riche. C’est d’ailleurs souvent les membres favorisés de cette catégorie qui ont transmis un héritage gastronomique à la postérité. Nous évoquions la semaine dernière la béchamel de Louis Béchameil, marquis de Nointel. Nous avons souvenance du filet de bœuf à la Richelieu, mais aussi de la charlotte aux fraises ainsi baptisée en l’honneur de Charlotte de Mecklembourg-Strelitz, l’épouse du roi George III d’Angleterre. Pour les géniaux inventeurs culinaires, on citera bien sûr le hachis du génial Parmentier ou plus récemment la purée à la Robuchon. Quant aux artistes, la pêche Melba et le tournedos Rossini sont de magnifiques exemples.

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