À la télé ce soir: «La ligne verte» ou «Le Silence des églises» (vidéos)
Voici notre sélection pour ce mercredi 10 juin. À ne surtout pas manquer !
La ligne verte, à 20h35 sur La Deux
En Louisiane en 1935, Paul Edgecomb est le surveillant-chef du quartier des condamnés à mort du pénitencier de Cold Mountain. Un jour, on lui confie John Coffey, un géant noir, condamné pour le viol et le meurtre de deux fillettes. Sous sa stature impressionnante, Coffey cache un cœur d’enfant…
Le Silence des églises, à 20h25 sur La Une
Gabriel, 27 ans, est un jeune homme à la dérive, rongé par un mal intérieur dont ses proches ignorent tout. À 12 ans, il a été contraint à une relation sexuelle par un prêtre, alors directeur de son école religieuse. 15 ans après, Gabriel décide d’affronter son bourreau, arme à la main…
Les étoiles de Dominique Deprêtre
La ligne verte, à 20h35 sur La Deux – Quatre étoiles
de Frank Darabont (1999)
Parmi les nombreux plaidoyers contre la peine de mort, celui-ci est sans aucun doute le plus original et le plus fascinant, toute période confondue ! C’est l’une des meilleures si pas la meilleure adaptation d’un roman de Stephen King. Et c’est l’un des meilleurs rôles de Tom Hanks. Autant de bonnes raisons pour adorer ce film vraiment unique.
Tuer n’est pas jouer, à 21h00 sur France 4 – Trois étoiles
de John Glen (1987)
Deux ans après la retraite de Roger Moore, Timothy Dalton endossa le smoking avec cet épisode très romantique et assez classe, où la sympathique Maryam d’Abo mobilise à elle seule l’attention de double-zéro-sept. Belle intrigue sur fond de guerre encore froide et dernière note hélas ! pour John Barry.
Un Indien dans la ville, à 20h00 sur AB3 – Deux étoiles
de Hervé Palud (1994)
Rythmée par « Chacun sa route », le fameux « tube » reggae de Tonton David, cette sympathique comédie familiale a même fait l’objet d’une adaptation américaine par les studios Disney.
Fée malgré lui, à 21h25 sur AB3 – Deux étoiles
de Michael Lembeck (2010)
Devenu successeur attitré d’Arnold Schwarzenegger, Dwayne Johnson le catcheur se révèle décidément meilleur acteur que son modèle culturiste, tout particulièrement dans les comédies dont celle-ci présente le double avantage des présences de la belle Ashley Judd et de l’inusable Julie Andrews.
