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Surfons tranquille: le Revenge Porn plus sévèrement condamné

La crise du Covid-19 a parfois exacerbé les tensions conjugales et mené à des dérives.

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Une situation qui, dans certaines familles, a eu comme conséquence de la violence conjugale. Des conflits qui ont pu aussi provoquer des situations de harcèlement via, par exemple, des publications sur les réseaux sociaux d’une photo sexy ou d’une vidéo un peu chaude. Dans notre pays, l’article 371/1 du Code pénal permet la poursuite de l’auteur de la diffusion d’enregistrement visuel ou audio dans lequel figure une personne dénudée ou se livrant à une activité sexuelle explicite si la personne n’a pas donné son accord ou que c’est diffusé à son insu. La peine encourue sera de six mois à cinq ans de prison. Et si la victime a moins de 16 ans, le coupable risque de dix à quinze ans de réclusion.

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