Et vive la Belgique!
L’édito de Marc Pasteger.
D’habitude, lorsqu’à cette période de l’année, on évoque les vagues, ce sont celles de la mer au bord de laquelle nous sommes nombreux à prendre le soleil. En 2020, tout est différent. Les vagues que provoquent les deux mois de trêve traditionnelle peuvent nous laisser un goût n’ayant rien à voir avec celui de l’eau que nous avalons forcément à un moment où à un autre en profitant de celle des océans. Le goût est plus amer que salé. Car nous ne comptons plus les parents, amis, collègues, voisins qui passent du temps à tricoter et détricoter des projets placés sous le signe de l’incertitude. Tant il est vrai qu’une autre vague, la deuxième de la crise Coronavirus, pourrait nous submerger.