Afin de préserver leur anonymat tout en postant leurs clichés, de plus en plus de parents cachent le visage de leurs enfants sur les réseaux sociaux. Une solution qui semble idéale, mais qui ne l’est pas tant.
Découverte juste à temps lors du week-end de Pâques, une tentative d’attaque d’une ampleur sans précédent a été déjouée. Cet échec montre surtout comment internet repose sur les travaux de milliers de développeurs bénévoles, isolés et vulnérables.