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Brixton Crossfire 500: l’austro-chinoise qui vaut le coup?

Nouveau modèle d’une marque autrichienne porte le nom… d’un quartier « hype » de Londres mais qui développe ses moteurs en interne.

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Devant nous aujourd’hui, la Brixton Crossfire 500. Néanmoins, ces blocs voient ensuite un partenaire japonais intervenir pour la construction des prototypes avant que la production proprement dite ne se déroule en Chine. Les détails stylistiques sont remarquables, du logo incrusté dans le phare à ce X découpé dans le caoutchouc des repose-pieds. Les designers de la Crossfire 500 ont planché sur leurs tables de dessin, cela se sent. Au guidon, le pilote sera assis en hauteur, avec les bras bien étirés le long du réservoir, mais la position des jambes garantit davantage de confort. La Crossfire se guide aisément, la suspension KYB à l’avant et à l’arrière soutenant brillamment la direction. Par contre, le freinage se révèle nettement insuffisant. L’étrier J.Juan, bien que monté radialement, parvient à peine à générer un ralentissement de la machine. Sans parler de cette sensation étrange dans le levier de frein. Si Brixton peut mettre un point en tête de liste des améliorations potentielles pour la Crossfire, c’est certainement le freinage.

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