Accueil Culture

Claude Brasseur: un éléphant, ça manque énormément

Disparu à 84 ans, il laisse un grand vide dans le cinéma populaire français. L’acteur à la voix éraillée était le dernier monstre sacré avec Belmondo et Delon.

Article réservé aux abonnés
Journaliste Temps de lecture: 9 min

Des quatre comparses des films d’Yves Robert, il était le dernier survivant, après la mort de Jean Rochefort, Victor Lanoux et Guy Bedos. Claude Brasseur fut de l’aventure de « Un éléphant, ça trompe énormément » et de sa suite « Nous irons tous au paradis ». Brasseur gouailleur, hâbleur et déconneur, il assumait tous ces « rôles » au sommet d’une forte popularité. Il cochait toutes les cases : cinéma, télévision (avec « Rouletabille » puis dans « Les nouvelles aventures de Vidocq » dans les années 70) et théâtre. Sa carrière était pleine à craquer, depuis ses premiers pas au grand écran… en 1956. Il s’est éteint mardi 22 décembre, « dans la paix et la sérénité… et reposera aux côtés de son père au cimetière du Père-Lachaise à Paris », a annoncé son agent, Mme Élisabeth Tanner. Ses obsèques se sont déroulées dans la plus stricte intimité, mardi 29 décembre, à l’église Saint-Roch à Paris, dans la paroisse des artistes où il a toute sa place.

Cet article est réservé aux abonnés

Découvrez la suite, 1€ pour 1 mois (sans engagement)

J'en profite

Aussi en Cinéma

Entretien Laurent Gerra fait son cinéma

Dans « Un père idéal », un téléfilm

où il partage l’affiche avec son vieux pote Eddy Mitchell, l’humoriste joue un père soupçonné du meurtre de sa fille. Confidences.

Voir plus d'articles

À la Une

références Voir les articles de références références Tous les jobs