William Leymergie publie son premier roman
Actuel journaliste-animateur de C8, William Leymergie, qui fut longtemps l’âme de « Télématin » (France 2), surprend en nous emmenant sur un terrain où on ne l’attendait pas. Un roman de caape, d’épée et d’amour.
On vous imaginait raconter une histoire dans l’univers de la télévision, on ne vous attendait pas sur un tel sujet. Votre premier roman « Mirebalais ou l’Amour interdit » est une épopée qui se déroule au XVIIIe siècle. Dans quelles circonstances ce projet est-il né ?
Il y a bien longtemps, en assistant à une projection de « Que la fête commence », un film réalisé par Bertrand Tavernier, avec, entre autres, Philippe Noiret. Il y a une scène qui évoque une orgie, comme il y en avait alors beaucoup chez les nobles. J’entends un mot qui m’interpelle : Mirebalais. Je ne sais pas ce qu’il signifie. Le lendemain, je découvre qu’en France, à Mirabeau, un village du Poitou, on appelle ainsi des ânes reproducteurs, extrêmement rares, particulièrement bien pourvus. Par extension, si j’ose dire, ce surnom est devenu celui d’hommes capables des mêmes prouesses, susceptibles donc d’apporter du plaisir à des femmes qui en manquent.