À la télé ce soir: «Luther» ou «Envoyé spécial»
Votre sélection pour ce jeudi 27 mai, à ne pas manquer !
« Luther » à 21h05 sur TF1
Théo
« Envoyé spécial », à 21h05 sur France 2
Au sommaire : «Ma vie au soleil». Et si la crise sanitaire était l'occasion de changer de vie ? Cathy et Laurent ont vendu leur maison en Normandie et tout quitté pour s'installer à Fuerteventura, aux Canaries, après avoir perdu leur emploi à cause de la pandémie. Un nouveau départ, loin du tumulte de leur vie d'avant, plus proche de la nature et au soleil. Mais un tel bouleversement n'est pas si simple : leurs économies auront fondu en septembre et ils doivent absolument trouver du travail - «Un cirque sans animaux ?» Des éléphants qui font le poirier, des tigres qui se jettent à travers des cercles de feu : ces numéros traditionnels de cirque ne seront bientôt plus qu'un souvenir.
Les étoiles de Dominique Deprêtre
de Christian Carion (2015)
L’auteur de « Joyeux Noël » a rassemblé les souvenirs de sa propre mère, une habitante de Cambrai qui a vécu l’exode de mai 40. Il a bénéficié d’un budget de 15 millions d’euros afin de parfaire la reconstitution, à l’aide notamment d’images de synthèse pour figurer les attaques de Stukas et le passage d’une division de Panzers. La production a effectué un prémontage avec des compositions d’Ennio Morricone, lequel a ensuite accepté de sortir de sa retraite créative pour ce film qu’il a lui-même jugé… « magnifique ». Avec raison.
de Francis Lawrence (2015)
Fin de la saga ? Probablement non car la romancière Suzanne Collins prépare un nouvel opus suivant la néo-classique procédure « préquelle » ! En attendant, le règlement de comptes tant attendu est agrémenté d’un dernier rebondissement extrêmement jubilatoire, au terme d’une quête vengeresse qui tient en haleine jusqu’au bout.
de Régis Roinsard (2019)
L’auteur du mémorable « Populaire » abandonne la comédie rétro-kitsch pour un vrai thriller ancré dans les milieux de l’édition pris dans l’étau d’un maître chanteur du piratage… Une sorte de huis clos à la « Taupe » de John le Carré dont l’énigme tient la route jusqu’au dénouement final et au grand dam d’un Lambert Wilson pourtant très autoritaire.
de Michele Placido (2012)
Après « Romanzo criminale » et « L’ange du mal », deux véritables chefs-d’œuvre, le réalisateur transalpin débarque dans la production hexagonale avec une demi-réussite. Chapeau pour l’ambiance, les scènes d’action et le casting (Daniel Auteuil, Mathieu Kassovitz et Olivier Gourmet), bémol pour un script qui part un peu trop dans tous les sens.
de Glenn Ficarra et John Requa (2016)
L’indivisible duo des « I love you Phillip Morris », « Crazy, stupid, love » et « Diversion » s’attaque à son tour à la « sale guerre » menée par les GI's en Asie centrale au début du siècle. On craignait une parodie grassouillette mais c’est tout le contraire et dès lors plutôt une bonne surprise.