L’oiseau sans tête
L’histoire à table de la semaine.
Il était l’objet de nos terreurs culinaires à la cantine. D’abord par sa consistance. Une « peau » caoutchouteuse et trop cuite. À l’intérieur, une farce sèche et insipide. Sans parler de l’accompagnement : des pommes vapeur malheureusement pas vaporisées et des princesses, pauvres haricots d’un royaume où les agueustiques sont rois. Enfin, il y avait le nom qui, y a pas à dire, vous dégoûte plus d’un gamin de primaire : l’oiseau sans tête. Beurk !