Keen’V: «Jamais je ne pourrais trahir la femme que j’aime»
Finie, la « Thérapie », Keen’V nous invite à « Rêver » à sa suite, plus haut, plus loin.
On l’avait laissé il y a deux ans alors qu’il était en « Thérapie ». Keen’V broyait du noir et prenait ses distances avec des chansons parfois trop légères pour être complètement honnêtes. Entre-temps, la pandémie est passée par là et plutôt que de l’enfoncer, elle l’a réveillé. Comme si, après avoir touché le fond, il ne pouvait que renaître de ses doutes. C’est ce qui nous vaut ce nouvel album tout en bonne humeur et qui, décidément, tombe à pic.
« Rêver », c’est votre proposition pour échapper à la morosité ambiante ?
Rêver, en ce moment surtout, on en a tous besoin. On rêve de plus de libertés, de ne plus avoir peur pour notre santé et celle de nos proches, de concerts, de voyages, d’amis qui se retrouvent. On rêve d’une vie comme avant, tout simplement.